jeudi 25 octobre 2012

Gaspillage d’argent public, du pur délire !

Ambition
 Dans son édito du LIL 24, d’août dernier (où on nous a encore évincé) le maire J. Vial déclare qu’il a « de l’ambition pour notre jeunesse » ! Ce qu’il a omis de vous dire c’est que cette « ambition » n’est qu’un simple mot lancé pour vous en mettre plein la vue, parce que cette ambition concernant la petite enfance, il n’en veut plus et souhaite s’en débarrasser en transférant la compétence petite enfance à la communauté de communes (CCPA), ce qu’il a proposé en février dernier mais qui n’a pu aboutir faute de majorité lors du vote. Nos petits lentillois pourront donc continuer à fréquenter le multi-accueil « les petits lutins » et leurs parents n’auront pas à aller à la crèche de St Pierre la Palud ou ailleurs pour les faire garder. Mais restons très vigilants, la municipalité de Lentilly n’abandonnera pas facilement !

vendredi 19 octobre 2012

Le maire de Lentilly est-il un manipulateur ?

Manipulation du maire de Lentilly sur le dossier du château des Varinnes : Rétablissons la vérité !

Par hasard début septembre notre groupe apprend qu’un projet immobilier (un de plus) se prépare en catimini sur notre commune entre le maire J. Vial et un lentillois, M. Marrecau, propriétaire du château des Varinnes, chemin de La Rivoire, qui souhaite faire don (!) de la partie bâtie de son château à la commune, mais en contre partie, la commune doit s’engager à lui mettre son parc de 3,5 hectares actuellement non constructible….constructible ! Tout simplement ! Et cela dans l’urgence. Dans quel but ! C’est simple : le propriétaire souhaite réaliser une belle opération immobilière ! C’est bien loin de l’œuvre philanthropique exposée lors du conseil municipal du 24 septembre.

mardi 16 octobre 2012

Un dernier salon avant la fin du monde ?

Le dernier salon avant la fin du monde, dénomination cocasse pour un salon qui en réalité n’est qu’une foire aux livres !

La fin du monde annoncée pour le 21 décembre 2012 n’est ma chère cousine qu’un vulgaire canular qui hante les esprits les plus crédules avides d’apocalypse. La participation à un salon du livre y faisant allusion était pour notre cousin une idée séduisante.

Ainsi, au début de cette année, il posta allégrement son bulletin d’inscription au grand argousin de cette manifestation au château de Crangeat, sans omettre de joindre à ce pli une lettre de change en paiement des frais de bouche et d’un droit de place de plusieurs écus. Entre nous, ma chère cousine, ce droit est peu usité de nos jours, mais le nombre élevé de visiteurs annoncés laissait présager de nombreuses rencontres et autres discussions avec de futurs lecteurs. Comme vous le savez, c’était aussi l’occasion pour notre cousin de présenter son nouveau roman publié depuis quelques semaines.
Peu avant l’été, il commençât néanmoins à avoir quelques doutes sur la notoriété de ce salon. Plusieurs échos défavorables lui ont été rapportés par des confrères et consœurs ayant participé à de précédentes éditions. Si l’enthousiasme et le succès étaient de mise au début, le nombre de visiteurs décroisse chaque année.