samedi 6 septembre 2014

Les deux classes rouvrent

La réouverture des deux classes en maternelle et primaire est un grand soulagement pour les parents, les directeurs d’école et les élus.

En avril, l’Éducation nationale annonçait la fermeture de deux classes, dans les établissements scolaires publics de la commune : une en maternelle, une en primaire. À la rentrée du mardi 2 septembre, l’inspecteur départemental de l’Éducation nationale, Roland Vitti, s’était rendu dans les deux écoles pour effectuer un comptage des élèves : 330 en primaire et 156 en maternelle. Après délibérations à l’inspection, la bonne nouvelle est tombée jeudi, en fin de journée, à la mairie : les deux classes sont rouvertes.
Un grand soulagement pour tous : la directrice de maternelle Vivaine Hostache et le directeur de primaire Marc Cortet vont pouvoir rééquilibrer les effectifs dans les classes.
Il y aura moins d’élèves par classe
Côté maternelle, les effectifs étaient de 31 élèves par classe. Désormais, on comptera 26 élèves dans cinq classes et 27 élèves dans la sixième classe. Côté primaire, la treizième classe va permettre d’alléger les effectifs de 27 à 25 élèves par classe. Le directeur retrouvera son poste à temps plein, tandis qu’un enseignant se chargera de sa classe de CE2.
Ces réouvertures sont une grande satisfaction pour le maire Nicole Vagnier et l’adjointe chargée de la Vie scolaire, Martine Gauthier Bottet, qui se sont beaucoup investies auprès de l’Éducation pour faire aboutir favorablement ce dossier.

La mobilisation des parents a payé

Les parents aussi avaient massivement soutenu les enseignants, notamment en envoyant des mails à l’Inspection afin d’alerter sur des « conditions d’enseignement inquiétantes, compte tenu des effectifs importants dans les classes de maternelle et d’élémentaire ».
Du côté des associations de parents d’élèves, Frédérique Burtin Micolon pour la FCPE et Alexandra Goudard pour la Lipe (Liste indépendante de parents d’élèves), ont apporté leur soutien : « C’est une très bonne nouvelle pour les écoles et nous sommes encore plus. 

(Sources : Le Progrès du 6 septembre 2014)